Articles associés au tag ‘rock’n roll’

Back Catalog

Publié le 09 juin 2023 — par Sam
Catégories Galerie

Une pochette de disque collector, signée Storm Thorgerson. Pour cette anthologie des Pink Floyd, le photographe et designer anglais a projeté sur le dos des modèles les couvertures des précédents albums du célèbre groupe de rock progressif. Une composition érotico-surréaliste tout à fait dans la note des musiques psychédéliques. Storm Thorgerson est d’ailleurs l’auteur de plusieurs pochettes de disques des Pink Floyd : The Dark Side of the Moon, Wish you were here, Animals, Atom Heart Mother, Ummagumma…
Si sa signature est indissociable des Pink Floyd, Thorgerson n’en a pas moins mis son talent au service d’autres musiciens comme Led Zeppelin, XTC, 10cc, Genesis, ou encore, plus récemment, Muse, The Mars Volta et les Cranberries.
C’était le temps où des pochettes de disques pouvaient mériter le titre d’oeuvres d’art. Un art considéré certes comme mineur et éphémère (il n’a duré que le temps glorieux des 33 T, en gros des années 60 aux années 80) mais qui a durablement marqué les jeunes esprits de l’époque et qui connait un regain d’intérêt ry. Back Catalog n’a pas obtenu la renommée formelle du célèbre Abbey Road des Beatles, du point de vue graphique et esthétique il semble bien plus original.

Décès de Little Richard

Publié le 09 mai 2020 — par Sam
Catégories Mémoire

Little Richard, artiste pionner du rock’n'roll, est décédé à l’âge de 87 ans, rapporte le magazine Rolling Stone. Son décès a été confirmé au magazine par son fils Danny Penniman, qui a précisé que la cause de sa mort n’était pas connue. De son vrai nom Richard Wayne Penniman, Little Richard était l’un des pères fondateurs du rock’n'roll.

De son vrai nom Richard Wayne Penniman, Little Richard a permis dans les années 1950 l’émergence d’un genre nouveau, le rock and roll, avec d’autres artistes de légende comme Chuck Berry ou Fats Domino. Pianiste virtuose au au style flamboyant, il a signé de nombreux succès tels que Tutti Frutti, Long Tall Sally,Rip It Up, Lucille ou encore Good Golly Miss Molly.

Little Richard – Lucille

Publié le 05 avr 2020 — par Sam
Catégories Playlist


Chanteur et pianiste américain haut en couleur, dont les chansons à succès du milieu des années 1950 ont été des éléments déterminants dans l’évolution du rock and roll.

Richard Wayne Penniman est né le 5 décembre 1932, à Macon (Georgie). Issu d’une famille de douze enfants, il apprend la musique de gospel dans les églises pentecôtistes du Sud profond. Adolescent, il quitte la maison familiale pour interpréter du rhythm and blues dans des medicine-shows et des boîtes de nuit, où il prend le nom de « Little Richard » et se fait remarquer par ses pitreries et son énergie sur scène. Rien dans ses premiers enregistrements réalisés au début des années 1950 dans le style apaisant du jump-blues de Roy Brown ne laisse encore imaginer quel chanteur d’exception il va être. Il perce en septembre 1955 lors d’une séance d’enregistrement au J & M Studio de La Nouvelle-Orléans, en Louisiane, où, soutenu par un solide groupe de rhythm and blues, il hurle « Tutti Frutti », avec son inoubliable exhortation, « A wop bop a loo bop, a lop bam boom ! ». Au cours des dix-huit mois suivants, il sort chez Specialty Records une série de chansons qui se vendent bien, tant aux auditoires noirs que blancs : Rip it up, Long Tall Sally, Ready Teddy, Good Golly, Miss Molly et Send me Some Lovin, notamment. Doté d’une voix phénoménale capable de produire des fredonnements, des gémissements et des cris sans précédent dans la musique pop, Little Richard chante des tubes qui allient des paroles enfantines amusantes à un côté sexuellement suggestif. Avec les enregistrements d’Elvis Presley pour la marque Sun au milieu des années 1950, ceux de Little Richard de la même époque constituent des modèles de chant et de musicalité qui inspirent les musiciens de rock depuis lors.

Le succès ne cessant de croître, Little Richard se produit dans certains des premiers films de rock and roll : Don’t Knock the Rock et The Girl Can’t Help it (La Blonde et moi ; tous deux en 1956) et